Dossier : Liberté d’expression, enseigner la presse.
Le français dans le monde N° 398 – Mars-avril 2015
L’assassinat des caricaturistes de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015 a été un électrochoc pour la société française. Un mouvement sans précédent, en France et en dehors des frontières, a témoigné d’une prise de conscience : la liberté d’expression est l’un des fondements de la démocratie française, et les populations sont prêtes à se mobiliser pour la préserver.
FLE et liberté d’expression
La rédaction du Français dans le monde a décidé de considérer ces faits tragiques en les éclairant par ce dossier sous forme de mise au point, pour que la liberté d’expression et la liberté de la presse continuent de vivre en classe de français. Par un entretien avec une universitaire spécialiste de l’éducation aux médias. Par une mise en perspective historique de la longue tradition de la caricature en France. Par un reportage sur un journal école dans une école parisienne. Par le témoignage de deux enseignants sur le blogue de leurs étudiants de français en Corée du Sud. Car, comme le clame Le Canard enchainé chaque semaine sur sa une, « La liberté de la presse ne s’use que quand on ne s’en sert pas ».
L’actualité du français langue étrangère
Comme toujours dans Le français dans le monde, la séquence « Métier » fait le point sur l’actualité de l’enseignement de la langue française dans le monde : en Grèce, la Maison Antoinette redouble de projets dynamiques pour promouvoir la langue et les cultures francophones ; une enseignante de Roumanie revient sur les défis de la la traduction ; comment le français s’impose comme «la voie royale » en Arabie Saoudite…
Retrouvez également en fin de revue les fiches pédagogiques, ainsi que la rubrique « Mémo » balayant l’actualité musicale, cinématographique et littéraire en France et dans l’espace francophone.
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MATOUB Amine
Qui pour la liberté de la presse avec le respect d’autruit et surtout l’ethique…
khadidja
Entièrement d’accord pour la liberté d’expression et bien sûr la liberté de la presse tout en respectant autrui!
mohamed
Pas d’accord. Les modèles en caricature ne doivent pas « respectés » sinon on dit « Adieu » à la caricature – on caricature pour dénoncer, se moquer, montrer du doigt, utiliser le rire comme une arme contre l’oppression, le fascisme, l’injustice etc.
mohamed
(ne doivent pas ÊTRE respectés)